dimanche 13 mai 2018

La France antisémite (1).


La Crise en 1992 extrait de la vidéo : «– Et vous Michou, qu’est-ce que vous en pensez ?
– Ah ben… Moi je pense que c’est beaucoup plus facile d’être contre le racisme quand on habite à Neuilly que quand on habite à Saint Denis, hein ? Voyez, moi par exemple je suis de Saint Denis, hé ben je suis raciste. Et vous par exemple vous habitez cette maison et vous êtes pas raciste, voyez…
– Franchement, Michou : vous vous considérez comme raciste ?!
– Ah oui ! Franchement oui ! Moi les étrangers je vis avec, alors je peux pas les saquer, voyez : ils foutent rien, ils sont sales, ils nous piquent nos bagnoles, on leur file des appartements en priorité sur les français, ils gagnent plus de fric que nous avec toutes les allocations qu’ils ont, dans les écoles nos mômes apprennent plus rien parce qu’il y a 70% d’enfants étrangers qui parlent pas un mot de français, ils nous font chier avec leur foulard et encore faudrait qu’on paye pour leur construire des mosquées, alors vous avez qu’à voir ! 
- Mais enfin qu’est-ce que vous faites du droit à la différence, de la tolérance, de l’idéal de Teeeeeerre d’Accueil de la France ?
– … Je sais pas ce que j’en fais de ça, moi… J’en sais rien…»



Je n’ai pas signé le manifeste contre le nouvel antisémitisme, rédigé par Philippe Val et qu’a publié «Le Parisien-Aujourd’hui en France Dimanche».

Dans un livre Le Nouvel Antisémitisme en France  Ed. Albin Michel, 213 p., quinze «intellectuels» présentés comme un «collectif» prennent la plume pour dénoncer le poison de l’antisémitisme. L’ouvrage, est préfacé par la philosophe Elisabeth Bourdeau de Fontenay une femme de gauche.
Depuis 8 ans que j’ai créé le blog Antisémitisme non merci très exactement le jeudi 23 Septembre 2010 n’ayant de cesse de dire que le nouvel antisémitisme est le concept d’une nouvelle forme d'antisémitisme qui s'est développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche et de l'islam, et tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël très peu de gens m’ont apporté leur soutien.
 

Dans LA QUESTION un livre écrit avec mes petits doigts de l’homme à moi :  je  pose la vraie «Question», la seule question qu’il faut se poser  aujourd’hui qui est : «Qui sont ces antisémites et autres blancophobes qui éructent des mort aux juifs ou mort aux blancs dans les rues de France ?».
La réponse : Des bons musulmans, certains de race noire, instrumentalisés par toute une nébuleuse de la haine raciste et antisémite marxiste culturelle de la gauche à la droite politique Française en passant par les médias.

Je tiens à préciser pour éviter des frais inutiles à toute la bande de crétins et autres débiles marxistes culturels de droite molle, de gauche, d’ultra gauche et communistes de Rance qui pue que le texte ci-dessus a été mis en ligne le vendredi 5 septembre 2014 et que l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881 relatif à la prescription des délits de presse (diffamation, et injure notamment) prévoit un délai de 3 mois à compter du jour de leur diffusion. La totalité des textes de cet article ou ne sont pas de moi ou ont plus de trois mois de diffusion Internet
L'antisémitisme de gauche n'a rien de nouveau, l’histoire de l’antisémitisme est liée à celle du socialisme comme la vérole sur le bas clergé, ce qu’occulte la domination politiquement correcte ou marxiste culturelle contemporaine.
Vous en voulez une preuve ?
Les 7 marxistes culturels dont deux militants du MRAP (Mouvement pour le Remplacement Accéléré du Peuple, ou comme du temps de Mouloud Aounit le Mouvement pour le Respect et l’Allégeance au Prophète si ce n’est, le Mouvement Raciste Antisémite et Populaire. De plus, savez-vous que ce délicat mouvement communiste le MRAP distille de la haine des juifs? Ce n’est pas moi qui le dis : «Le MRAP distille de la haine des Juifs en général !», belle citation de Maurice Winnykamen dans «Grandeur et misère de l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ?» (page 203) aux Éditions Tribord), accusés de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de son origine ou de son appartenance ou non appartenance à une ethnie, nation, race ou religion d'Alençon ont en 2012 refusés de signer un rappel à la loi. Chantal Mallet, Pierre Frénée, François Tollot, Christine Coulon, Jo Montier, Nicole Le Strat  et Alain Bertin de l’AFPS (Antisémites Français Populaires et Soviétiques) tous retraités de la fonction publique ou prêt de l’être, ont en septembre 2013 pour l’action publique notoirement antisémite réalisée le 10 février 2010 dans un magasin Carrefour d’Alençon, été condamné à une peine d’amende d’un montant de 500 euros assortie du sursis. En ce qui concerne l’action civile, les 7 prévenus sont condamnés à verser, solidairement, 500 euros au BNVCA, à l’ Association Alliance France-Israël, à la Chambre de Commerce France-Israël, et à l’Association Avocats Sans Frontières).                                                                                 Si l’Islam fondamentalement antisémite a réussi son installation en France c’est uniquement le fait de la gauche ou d’une sorte de droite toute marxiste culturelle et politiquement correcte.
Le 13 juillet 1926 Charles Maurras écrivais pour l’inauguration de la grande mosquée de Paris par le gouvernement du cartel des gauches d’Aristide Briand : (…) nous sommes probablement en train de faire une grosse sottise (…) Nous venons de commettre le crime d’excès. Fasse le ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse».
Dois-je rappeler que le grand Charles de Gaulle lui-même disait en mars 1959 : «C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se raconte pas d'histoire! Les musulmans, vous êtes allés les voir? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées».

Personnellement en septembre 2010 j’écrivais toujours avec mes petits doigts de l'homme libertarien:
«Moi, je commence à déprimer sérieusement (déjà). Jamais la France ne s’en sortira seule. Il y a trop de pression pour que nous nous libérions de ce mode de vie islamique incompatible avec la laïcité. Regardez la plupart des Français. A part 20 ou 30 %, on leur parle de la gargouille de Lyon de Mahomet et on a des «Bof !». On leur parle des prières dans la rue, de la malbouffe hallal, des torchonnées immondes et des barbus Allah con, ça ne les concerne pas, il n’habite pas ces quartiers (à l’époque le terrorisme antisémite musulman ne montrait pas encore sa sale gueule immonde) Bref ! On est dans la merde. Nous manquons de gens couillus. En 2012, vous verrez la Gauche revenir, en 2017, la Droite, des cohabitations à n’en plus finir. J’en ai marre des gens de ce foutu pays. Les CPF et les muzz se croient en pays conquis, ils nous imposent leurs lois, font reculer les nôtres, pendant que les cocos et autres syndicats Stroskos défilent dans la rue en hurlant « Mort aux juifs», etc. etc… Franchement, je vais vous faire un aveu : Je n’y crois plus, ni dans les urnes, ni autrement. Seule, une Europe à feu et à sang pourra faire avancer les choses, mais je sais que ce ne sont pas les Français qui déclencheront en premier les hostilités. Regardez tous ces beaufs qui s’extasient devant les équipes de foot. Regardez tous ces «jeunes», plus avides de boissons et de soûleries que de prendre le temps de réfléchir sur l’état du pays. Regardez la crasse dans les rues, les tags, regardez dans quelle cloaque nous vivons et regardez la réaction de la plupart des gens : Ils s’en foutent. Leur bonheur commence à l’entrée de leur maison et s’arrête au portail de leur jardin. Point ! Je n’ai plus rien à dire. La plupart des gens devraient avoir honte !!! Je n’ai pas honte de moi ni de mes proches, mais j’ai honte pour les autres. La France sera musulmane, non pas parce que les muzz sont conquérants, mais parce que beaucoup de Français De Souche manquent de COUILLES !!! Les muzz le savent. Ils ont bien raison après tout si nous sommes trop cons pour les laisser faire. Les dés sont jetés. J’attends un hypothétique bain de sang à présent. A regret, mais je ne vois pas d’autres horizons». Le bain de sang a bien commencé avec les Amedy Coulibaly, Youssouf Fofana, Mohamed Mehra, Nehmouche (à merde,) et les autres troncs de figuiers terroristes islamiques antisémites et ne croyez pas que je sois fier de mes prédictions.
Aujourd’hui la gauchiotterie marxiste culturelle en France ou plutôt en Francarabia commence à se dire qu’il serait peut-être temps de se réveiller, étant resté si longtemps silencieuse sinon complice, Le Parisien l’explique en écrivant : «Pourquoi ce silence ? Parce que la radicalisation islamiste (Mais c'est quoi ça un rat dit calisé?) – et l’antisémitisme qu’il véhicule – est considéré exclusivement par une partie des élites françaises (ça aussi c’est pas mal les zélites pour des gros crétins marxistes culturels intellocrates et anciens idiots utiles) comme l’expression d’une révolte sociale, alors que le même phénomène s’observe dans des sociétés aussi différentes que le Danemark, l’Afghanistan, le Mali ou l’Allemagne… Parce qu’au vieil antisémitisme de l’extrême droite, s’ajoute l’antisémitisme d’une partie de la gauche radicale qui a trouvé dans l’antisionisme l’alibi pour transformer les bourreaux des Juifs en victimes de la société. Parce que la bassesse électorale calcule que le vote musulman est dix fois supérieur au vote juif». Et c’est là où je ne suis plus du tout d’accord avec toute cette bande de guignols merdiatocrasseux et intellocrates marxistes culturels toujours à fantasmer sur une extrême droite qui serait antisémite aujourd’hui, nous balançant toujours les noms d’Alain Bonnet, dit Alain Soral se réclamant à la fois du nationalisme et de la gauche — notamment du marxisme exactement comme Staline ou de Dieudonné M’Bala M’Bala un extrémiste de gauche antisémite (pléonasme).
En huit années de recherches sur ce nouvel antisémitisme je n’ai trouvé que des individus gauchistes ou musulmans condamnés pour incitation à la haine raciale antisémite (souvent à l’instigation du BNVCA qui les ayant fait condamner, nous cache soigneusement leur sinistre appartenance politique de gauche, d’extrême et d’ultra gauche. Bien que pour le BNVCA le «palestiniste» (néologisme employé là pour marxisme culturel) exacerbé de la propagande des arabes musulmans habitant les territoires disputés de palestine constitue  la source essentielle de l’antisémitisme depuis 13 ans, et que les actions des commandos gauchistes de BDS participent de cette propagande ciblée et nocive. On sent bien là l’éternel regret du BNVCA que ce nouvel antisémitisme ne soit pas «d’extrême droite», snif, snif…).  Il convient pourtant d’être clair, ce concept de soi-disant nouvel antisémitisme en est une forme qui s'est développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche et de la droite molle marxiste culturelle et de l'islam tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Un exemple : Le 8 Janvier 2014 la cour d’Appel de Colmar avait condamné Aline Parmentier, secrétaire départementale du PC-(F) section Alsace, membre du Front de Gauche, activiste de la campagne illégale et antisémite BDS et du «collectif» Boycott68 se revendiquant de l’idéologie marxiste aux cent cinquante millions de victimes innocentes. Elle a avec une dizaine d’autres racistes antisémites Islam- marxistes du PIR ou d’EELV, Jean Michel Baldassi, Maxime Roll, Christiane Topouzian épouse Mure, le professeur d’histoire  antisémite le professeur d'histoire antisémite soutenu par la FSU Henri Eichholzer, Mohammad Akbar, Farida Trichine, Jacques Ballouey un écolo (Les verts 68), Leïla ou Laïla Assakali, Assakali Yahia, Habiba El Jarroudi épouse Assakali, Assya Ben Lakbir, été  condamnés pour avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion… En un mot pour antisémitisme !


En Allemagne aussi règne le politiquement correct ou marxisme culturel ; Madame Merkel chancelier a dénoncé très récemment l’attitude de certains «réfugiés arabes», qui s’ajouterait aux incidents d’extrême droite (ah oui, et quels sont-ils ? Mystère et boule de gomme !).
Le 14 mars dernier madame le chancelier d’Allemagne face aux élus de l’AFD au Bundestag, à Berlin, exprime des mots qui ressemblent à un aveu : «Nous avons maintenant aussi de nouveaux phénomènes : nous avons des réfugiés ou des personnes d’origine arabe qui introduisent une autre forme d’antisémitisme dans le pays». J’adore les mots de «réfugiés arabes» en novlangue marxiste culturelle qui comme chez nous, ne sont que des immigrés clandestins en situation irrégulière de religion musulmane c’est-à-dire des antisémites fondamentaux ! Il est bien certain que madame le chancelier d’Allemagne une ancienne marxiste Stalinienne d’Allemagne de l’Est ne peut en bomme marxiste culturelle en rester là et elle poursuit : «La haine contre les Juifs existait malheureusement», alors que le pays serait aussi confronté à la poussée de l’«extrême droite» selon elle. Mais «qu’aucun jardin d’enfants, aucune école, aucune synagogue ne puisse être sans protection policière, cela nous inquiète», a-t-elle insisté. «Il faut remporter cette bataille», avait-elle déclaré quelques jours auparavant.

Les journalopes marxistes culturels et merdiatocrasseux d’Allemagne sont comme chez nous, lobotomisés par l’idée d’une extrême droite fantasmée ! Dans la suite de l’article concernant madame le chancelier Merkel et ses propos ces marxistes culturels nidoreux ces journaleux rustiques viennent éructer : «L’antisémitisme arabe (musulmans ?), n’est pas le seul en cause dans la résurgence de ce phénomène. L’extrême droite reste à l’origine de la plupart des actes dénombrés. Dans son dernier rapport, l’association Report­Antisemitism, qui recense les actes antisémites à Berlin via un site Internet, fait état de 947 agressions en 2017, contre 590 en 2016». La «culture» de madame Merkel laisse fortement à désirer, vous me direz que pour une ex militante communiste de RDA membre de la STASI c’est assez normal, mais quand même, bien que nombreuses sont les personnes à l’inculture crasse, notamment en Occident, qui considèrent que «arabe» et «musulman» sont des termes interchangeables, cette conception est fausse. En effet, tous les musulmans ne sont pas arabes et tous les Arabes ne sont pas musulmans.


Ce qu’il faut savoir, d’emblée, c’est qu’être «musulman» c’est être une personne qui croit aux principes de la religion musulmane. En revanche, être «Arabe», c’est faire partie d’une ethnie particulière, à savoir le peuple de l’Arabie. Ainsi, on peut être Arabe mais pas musulman, comme les juifs ou les chrétiens arabes de Église syriaque orthodoxe, syriaque catholique, et dans une certaine mesure Maronite. Et on peut être musulman sans être Arabe, comme les berbères d’Afrique du nord, ou les indonésiens, les pakistanais ou les afghans. D’ailleurs, bien que la majorité des turcs, des iraniens, des indonésiens, des afghans ou des pakistanais etc. sont musulmans, ces peuples sont des peuples non-arabes et même non-arabophones qui maîtrisent peu ou pas la langue arabe.
Sur le nombre d’agressions antisémites enregistrés à Berlin les journalopes boches ont raison, le chiffre a effectivement doublé entre 2013 et 2017, selon un rapport publié jeudi à Tagesspiegel. Les chiffres de la police vus par le journal berlinois montrent que 288 crimes classés comme antisémites ont été enregistrés par la police de la capitale en 2017, soit un peu moins du double des 149 crimes enregistrés en 2013. Tagesspiegel rapporte qu'aucune analyse n'a été publiée pour expliquer l'augmentation de la criminalité antisémite, mais que la police et les autorités municipales pensent qu'elle est essentiellement liée au nombre croissant de migrants du Moyen-Orient vivant dans la ville, c’est-à-dire des musulmans ; on est bien loin de l’extrême droite. Mais les fantasmes marxistes culturels des forces politiques classiques et agreste de l’extrême gauche marxiste à la droite molle marxiste culturelle identique à celle de la France sur une extrême droite qui reviendrait en force avec un antisémitisme débridé sont alimentés par la méthode actuelle de classification du crime antisémite en Allemagne qui a déjà été critiquée pour son inexactitude dans l'identification des motifs. Le crime ou l’acte antisémite est systématiquement classé comme extrême-droite sauf évidemment si les cris de haine de «tot für die Juden » (mort aux juifs) sont par exemple assortis d’un retentissant «Allah ou Akbar» ou plus simplement exprimé en arabe par «Aitbar ayehoudi» (mort aux juifs), encore que là, le policier teuton supposera qu’«Aitbar ayehoudi», est une expression de l’extrême droite suédoise ou norvégienne. Une commission spéciale sur l'antisémitisme, qui a publié un rapport l'année dernière, a déclaré qu’ «il y a probablement une image très déformée de la criminalité antisémite qui en attribue les auteurs à l’extrême droite». 90% des actes antisémites sont en Allemagne attribué arbitrairement à l’«extrême droite» alors que ceux-ci sont comme en France commis à 99% par des musulmans ; cherchez l’erreur ! Felix Klein, premier émissaire spécial du gouvernement allemand auprès de la communauté juive dira : «Pour l’heure, nous n’avons que les statistiques générales de la police, selon lesquelles 90 % des délits antisémites  sont commis par l’extrême droite». Or, les juifs d’Allemagne «racontent tout autre chose, ils ressentent l’antisémitisme musulman comme beaucoup plus dangereux», a poursuivi M. Klein. 
Mais je n’ai aucun doute sur les idées de madame Merkel une communiste convaincue et ses opinions nauséabondes acquises en RDA. Son père le pasteur Horst Kastner (pas Wessel) appartenait à un groupe de prétendus «théologiens» qui voyaient dans le socialisme une véritable alternative au capitalisme (sorte de curé révolutionnaire juré, ayant pleinement intégré les idées de Maxime Gorki (un des pères du marxisme culturel) qui bâtit avec Alexandre Bogdanov ou Anatoli Lounatcharski, un système «philosophique» très controversé intitulé «Construction de Dieu» qui cherchait, en prenant appui sur le mythe de la révolution socialiste, à définir une spiritualité socialiste (sans rire) où, riche de ses passions et de ses certitudes morales, l'humanité accéderait à la délivrance du mal et de la souffrance et même de la mort), son appartenance au SED (Sozialistische Einheitspartei Deutschlands, parti politique unique de la République dite «démocratique» allemande (RDA) d'obédience communiste marxiste-léniniste lui permis d'obtenir de l'avancement (il est de plus en plus évident que quand les pasteurs s'égarent les fidèles s'égaillent).


Il faut savoir que le pasteur Horst Kasner un socialiste à tendance marxiste prononcée convaincu avait quitté Hambourg peu après la naissance de sa fille Angela, pour s'installer en RDA à une époque où les citoyens normaux fuyaient le régime communiste en masse, il aurait justifié son geste en affirmant vouloir soutenir les âmes de ses concitoyens restés de l'autre côté. De son côté, madame la camarade Merkel fonctionnaire de l’Académie des sciences n'avait pas été qu’un simple membre des FDJ, les jeunesses communistes du SED, elle avait fait partie de l'encadrement des FDJ jusqu'à l'université et avait été à partir de 1981, secrétaire pour l'agitation et la propagande (agit-prop) d'une cellule des FDJ. 
                                                                                       La RDA à l’époque était alignée sur le modèle soviétique et son antisémitisme officiel (lutte contre le cosmopolitisme et éviction de responsables juifs considérés comme «agents sionistes» et ennemis du peuple).    
                                                                                                Dans l’ensemble des pays de l’est et en RDA en particulier la libéralisation insufflée par Khrouchtchev dans les années 60 favorise simultanément la publication d’ouvrages antisémites dignes d’un social-nationalisme décomplexé dit nazisme, couverts par l’Académie des sciences, tel Le judaïsme sans fard (1963) du professeur Trofim Kitchko qui connut un grand succès auprès des jeunesses communistes du SED. Brejnev et ses successeurs ne démentent pas, au contraire, cette tradition antisémite. Celle-ci est même renforcée par le soutien soviétique au camp arabe dans sa confrontation avec Israël. En Mai 1971, la Komsomolskaïa Pravda, la presse des Jeunesses communistes diffusée en RDA, ose publier: «Les sionistes devraient élever un monument à Hitler car c’est précisément le dément Führer qui a posé le dogme de base du sionisme: l’existence d’un peuple juif mondial, d’une race juive». En novembre 1975, un sommet est atteint avec le vote à l’assemblée générale des Nations unies, à l’instigation de l’URSS et des États arabes, d’une motion assimilant le «sionisme au racisme et à la discrimination raciale». Pour en finir avec madame Merkel et ses gays fantasmes marxistes culturels, je voudrais citer le philosophe Karl Jaspers qui disait : «Trois choses ne peuvent coexister dans la même personne, l’honnêteté, l’intelligence et l’adhésion au parti. Si vous êtes intelligent et membre du parti vous êtes malhonnête. Si vous êtes  honnête et membre du parti vous êtes un sot. Si vous êtes intelligent et honnête vous n’êtes pas membre du parti».



Je voudrais maintenant parler d’un article de madame N. Polony paru dans le quotidien Le Figaro du 28 avril dernier dont le titre : Veuillez cacher cet antisémitisme… annonce tout un programme.
Il ne commence pas mal : «Injuste et délirant». Ainsi le recteur de la Grande Mosquée a-t-il qualifié le manifeste contre l’antisémitisme signé pourtant par des personnalités aussi diverses que François Pinault, Dominique Perben ou François Berléand. Tous ces gens ne seraient-ils que des inconscients incapables de déceler l’intention perverse cachée dans ce texte ? Ou bien seraient-ils eux-mêmes coupables de nourrir quelque intention malveillante à l’égard d’une religion de paix et de ses croyants, qu’on voudrait implicitement exclure de la communauté nationale ? (…) Tel est bien le nœud du problème : à chaque fois que des voix s’élèvent, les plus diverses possible, pour tenter de sortir du déni, de nommer enfin l’innommable et de poser les bases d’un rassemblement, de doctes esprits s’emploient à vider le message de sa substance et à détourner le débat. (...) A nommer cet antisémitisme islamiste, on en oublierait l’antisémitisme traditionnel européen... Comprenez, le véritable danger en France, c’est la republication de Céline et Maurras. Mohamed Merah avait trop lu Rebatet. (...) Ah ben ça alors, Mehra savait lire ? Première nouvelle et ce n’est certainement pas Les Décombres qui faisait les délices du musulman antisémite mais les publications très actuelles de CAPJO Euro-Palestine, du NPA, des Insoumis qui appellaient comme lui à venger les enfants Palestiniens.
A part la référence à cet «antisémitisme» dit «traditionnel» dont on a vu qu’il est aujourd’hui quasiment inexistant en Europe, pourtant nous aurions peu croire que madame Polony avait compris lorsqu’elle écrivait en 2014 : «Il y a déjà plusieurs années que des professeurs alertent sur la montée d'un antisémitisme décomplexé dans certains établissements scolaires. Cela a commencé avec des usages du mot «juif» assimilé à une insulte: «Fais pas ton Juif»… Cela a continué avec des contestations de l'enseignement de l'holocauste. Et l'on peut considérer que cet enseignement a été mal conçu, faisant le choix de l'émotion pour frapper les esprits de jeunes au détriment parfois d'un enseignement appuyé sur la raison et l'analyse, peu importe. Il ne s'agissait pas de cela mais bien de propos négationnistes tenus par des jeunes gens expliquant benoîtement qu'Hitler n'avait pas «fini le travail» (il est bien évident et vous aurez corrigé de vous-même qu’en parlant de «jeunes gens» madame Polony s’exprimait en novlangue marxiste culturelle et qu’il fallait comprendre des «jeunes musulmans issus de l’immigration» et on pourrait même ajouter avec de nombreux «jeunes» de race noire,  car oui, n'en déplaise à la nomenklatura marxiste culturelle de la politique et des merdias les races existent. La preuve; Les sortis du Zoo nous «chantent» : Nique ta race !).  Il y a même des juifs antisémites.

Madame Polony ouvre une petite parenthèse pour nous rapporter les propos de monsieur le président de la République Macron qui lui, ne voit en bon marxiste culturel mondialiste que deux racines à ce «nouvel antisémitisme» (pas si nouveau que ça puisque je le dénonce depuis près de 10 ans) : En premier celui lié au conflit entre Israël et les territoires disputés aux arabes musulmans ou d’ultra gauche marxiste et une deuxième sorte, un ancien antisémitisme qui existait au début du siècle et qui par la grâce dont on ne sait ni quoi ni qu’est-ce, reprendrait de l’ampleur et deviendrait alors «nouveau». Monsieur le président Macron est un grand spécialiste de la chose politiquement correcte, pendant la campagne électorale, il fallait révolutionner. A la tête de l'Etat, il faut aujourd’hui transformer, faire du neuf avec du vieux. Tâche autrement plus ingrate, à laquelle Macron s'attelle systématiquement. En grand marxiste culturel il travaille très bien les mots. 

En mars 2017 dans un article de blog dénommé: Comprendre le nouvel antisémitisme je disais : (…) vous devez savoir que le débat politique est systématiquement aujourd’hui  précédé d'un débat-culturel, le méta-débat, le cadre conceptuel, ou encore «l'agenda politique» (anglicisme), ou la Weltanschauung. En termes marxistes : «l'hégémonie culturelle» ou «l'idéologie dominante». Le marxisme culturel consiste à modifier ce cadre philosophique de manière subtile, en faveur du collectivisme et du communisme, pour faciliter la prise de pouvoir, le président Macron en est la plus parfaite représentation. Le marxisme culturel consiste aussi à mentir, manipuler, désinformer, user d'arguments de mauvaise foi, autrement dit avancer des arguments auxquels on ne croit pas soi-même, dans le but de saborder les sociétés occidentales».


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Toutes et j’insiste et dit bien toutes les actions et paroles de monsieur le président Macron et de ses complices des médias entendent faire entrer les électeurs ou habitants de l’hexagone (on n’ose plus dire les «Français») dans l’ère marxiste culturelle et la globalisation. Vous avez l’impression par exemple en lisant Le Figaro de lire une presse de «droite» que nenni mon zami vous lisez du marxisme culturel politiquement correct dans le texte ; Le soutien apporté par les médias est beaucoup plus facile que deux décennies auparavant car ils se sont concentrés et que les six principaux patrons de presse sont très favorables au marxisme culturel et à la globalisation.

                                                                            En réalité ce sont dix milliardaires globalistes qui ont pris le contrôle des principaux médias français. Ces oligarques ploutocrates, venus du BTP, de l’armement, du luxe ou de la téléphonie, ont accaparé les grands quotidiens nationaux, les chaînes de télévision et les radios, pour asseoir leur influence. Y a-t-il encore quelqu'un d'assez naïf dans ce pays des doigts de l’Om mai padme hūm pour penser que ces corporations étatiques toutes globalistes et marxistes culturelles puissent être indépendantes du pouvoir en place ? Ils sont cinq à faire partie du cercle des dix premières fortunes de France et à vous imposer le prêt-à-penser : Bernard Arnault, PDG du groupe de luxe LVMH (patron des Echos, du Parisien et soutient d’Emmanuel Macron), Serge Bloch dit Dassault (Le Figaro, membre du club Le Siècle invité régulier du Groupe ou Organisation de Bilderberg, ancien sénateur poursuivi en justice pour blanchiment de fraude fiscale ce dit Fan de Macron ), François Pinault (Le Point, invité 2006 du Groupe de Bilderberg soutient d’Emmanuel Macron), Vincent Bolloré (Canal+, dont le fils Yannick Bolloré, que son père, Vincent, a installé à la présidence d'Havas est cul et chemise avec devinez qui ? Manu Macron bien sûr). Monsieur le président de la raie publique Emmanuel Macron, ex ministre de l’Economie d’un gouvernement socialiste a participé à la réunion du groupe Bilderberg, qui a eu lieu à Copenhague les 31 mai et 1 juin 2014. M. Macron y assistait en tant que conseiller du président de la Ripoublique François Hollande. Henri de Castries, président de la compagnie Axa, préside le groupe Bilderberg. Christine Lagarde, directrice du Fonds monétaire international, Fleur Pellerin, alors secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur et ministre de la Culture, François Baroin et Natalie Nougayrède, ex-directrice du Monde, journal possédé par Messieurs Bergé, Niel et Pigasse, étaient quelques-uns des membres de la réunion de Copenhague. Vous aurez remarqué que vous avez des noms mais que vous ne savez pas encore tout à fait comment ça marche, hormis le fait qu’on vous prend pour des cons ou des connes ! J’m’en va vous l’expliquer cré bon diou, bien à fond avec le cas d’Edouard Philippe votre premier sinistre bien aimé ; monsieur le premier ministre Philippe, Bilderberg 2016, a été choisi par Emmanuel Macron, Bilderberg 2014 ! Du 9 au 12 juin 2016, Edouard Philippe participait à la réunion du Groupe Bilderberg. Le mécanisme bien connu du Groupe Bilderberg est le suivant :                                                                

1- D’abord, la sélection. Depuis 1954, chaque année, au mois de juin, le Groupe Bilderberg se réunit. Il sélectionne deux ou trois hommes politiques français. Objectifs : placer leurs pions, continuer la construction européenne marxiste culturelle et la globalisation mondiale et faire élire des membres du Groupe Bilderberg politiquement corrects aux élections dans les pays européens.

2- Ensuite, la propagande médiatique.                     Le système médiatique entièrement contrôlé par les membres du groupe et complice fait la promotion de ces hommes politiques sélectionnés par le Groupe Bilderberg. Le système médiatique ou merdiatocratique dit plus que du bien de ces fameux pantins dit  «hommes politiques» dans les journaux, sur les radios, sur les chaînes de télévision et sur Internet pendant des mois et des mois. Normal : les grands journalistes politiques, les grands éditorialistes et les directeurs des médias sont eux-aussi des membres du Groupe Bilderberg.                                                            Exemple : Nicolas Baverez et Etienne Gernelle ont été sélectionnés par le Groupe Bilderberg pour participer à leur réunion de juin 2016. Ils sont respectivement éditorialiste et directeur de l’hebdomadaire Le Point.                                           Jeudi 4 mai 2017, Le Point faisait sa une sous le titre : «Droite : la bataille qui commence». Sur cette une, on voyait la photo des huit principales «personnalités» politiques du parti de droite Les Républicains pour les mois qui viennent. Chose étonnante : sur ces huit personnalités de droite, il y avait sept personnalités très connues … et un homme politique complètement inconnu ! Les sept très connus : François Baroin, Nathalie Kosciusko-Morizet, Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Bruno Le Maire, Laurent Wauquiez, Christian Estrosi. Il y avait aussi un «homme politique» inconnu : un certain Edouard Philippe ! Avec cette photo de une et avec le dossier à l’intérieur, l’hebdomadaire Le Point commençait à préparer l’opinion publique à la nomination d’Edouard Philippe, qui était alors encore inconnu.
                                                                               3- Dernière étape, l’élection.Les électeurs, après avoir subi des mois de bourrage de crâne, votent pour l’homme politique promu par les médias.           Conclusion : Monsieur Macron, Bilderberg 2014, a été élu président de la République. Quelques jours plus tard, il a nommé premier Ministre Edouard Philippe, Bilderberg 2016 !   
C’est la nouvelle «aristocratie» une nomenklatura d’oligarques ploutocrates marxistes culturels. Cette nouvelle aristocratie contrôle totalement le système politique et le système médiatique et a verrouillé le système. Même au moment des élections, il ne peut plus y avoir d’alternance.

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Michel Alain Labet de Bornay pour le CTECNA


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