mercredi 26 avril 2017

Des antisémites ? Chez Macron aussi !




Vu sur J Forum.fr le portail Juif Francophone.

Le président d’ En marche, Emmanuel Macron, s’est assez mollement positionné contre la campagne antisémite BDS de boycott.
Mais car il y a un mais ! Et un gros ! Monsieur Richard Ferrand, membre du Parti socialiste, député du Finistère, secrétaire général du mouvement En marche depuis octobre 2016 et bras droit d’Emmanuel Macron, a financé l’association marxiste culturelle émanation directe du Parti Communiste se disant Français France Palestine Solidarité avec sa réserve parlementaire 2016. Un financement pour «frais de fonctionnement» destiné à l’antenne locale (le groupe Centre-Bretagne) de l’association, qui, pour sa branche nationale, explique pourtant sur son site marxiste culturel et antisémite (pléonasme) : «le fonctionnement de l’ AFPS repose uniquement sur les cotisations de ses 4400 adhérents, ainsi que des soutiens ponctuels que ceux-ci ou leurs amis apportent à l’occasion de souscriptions spécifiques. L’ AFPS ne reçoit strictement aucune subvention externe, publique ou privée pour son fonctionnement courant».
Proche de Jean-Yves Le Drian – il présidait le groupe socialiste au conseil régional de Bretagne – le camarade Ferrand, soutient donc, via des fonds publics, une association qui a pour objet «de développer l’amitié et la solidarité entre le peuple français et le «peuple» palestinien (qui n’existe pas) et d’œuvrer pour l’établissement d’une paix juste et durable au Proche-Orient fondée sur la reconnaissance des droits nationaux du peuple palestinien, sur la base du droit international» (fameux «droit» qui n’existe pas plus que le fameux «peuple» palestinien).
En 2016, il s’était déjà ému de l’interception d’un bateau de militants socialos marxistes culturels qui voulaient se rendre à Gaza et fait le relais auprès de Jean-Marc Ayrault, alors Ministre des Affaires Étrangères, des revendications de l’association communiste et fasciste rouge l’ AFPS.
Cet engagement public du camarade Ferrand en faveur d’une association plus que controversée pose une grave question. En effet, Emmanuel Macron aurait officiellement une position différente sur celle ci. Il a cependant déjà été accusé de dérapage lorsqu’il avait attaqué les écoles juives où l’on enseignerait, selon lui, «la torah plus que les savoirs fondamentaux».
Fin 2014, l’antenne locale de Carhaix de l’association marxiste culturelle et antisémite France Palestine Solidarité a ainsi mené une action illégale de «boycott, désinvestissement, sanctions» (BDS) auprès des trois grandes surfaces de Carhaix et sur le marché local. BDS est un regroupement de collectifs bidons et d’associations – principalement d’extrême gauche (voir la liste des antisémites qui soutiennent BDS ici) personne ne s’étonnera d’y voir Le Collectif des Musulmans de France, la CGT sous toutes ses formes, Le Parti de Gauche (vous savez, la France insoumise au grand capital cosmopolite de Jean Luc Mélenchon), le NPA (Nouveau Parti Antisémite), ATTAC France le fameux mouvement ou le MRAP qui distille de la haine des juifs est membre fondateur etc. – qui a pour objet notamment de «sanctionner la politique d’Israël». D’après le tract distribué ce jour-là sur le marché de Carhaix, «la politique criminelle du gouvernement israélien contribue à la montée de l’extrémisme et de l’antisémitisme».


Le collectif appelait alors à boycotter les produits des colonies et en provenance d’Israël. Pourtant, aujourd’hui, cet appel est totalement illégal en France. Un article du Monde de novembre 2015 expliquait alors : La Cour de cassation a confirmé la condamnation par la cour d’appel de Colmar de 12 militants du mouvement Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS) à 28 000 euros de dommages et intérêts aux parties civiles et chacun à une amende de 1 000 euros avec sursis. Il leur est reproché d’avoir, le 26 septembre 2009 pour les uns et le 22 mai 2010 pour les autres, participé à une manifestation dans un magasin Carrefour à Illzach, près de Mulhouse (Haut-Rhin), « appelant au boycott des produits en provenance dIsraël ». Ils portaient des tee-shirts avec le slogan «Palestine vivra, boycott Israël » et distribuaient des tracts aux clients sur lesquels était écrit : « Acheter les produits importés dIsraël, cest légitimer les crimes à Gaza, cest approuver la politique menée par le gouvernement israélien».
Et Le Monde de poursuivre : «La campagne BDS lancée par des militants pros palestiniens en 2005 à travers le monde fait l’objet depuis 2010 de poursuites systématiques dans l’Hexagone. Une circulaire aux procureurs datant de février 2010 – Michèle Alliot-Marie était alors ministre de la Justice – visait spécifiquement les «appels au boycott de produits israéliens» et recommandait aux parquets dapporter «une réponse ferme». Mais les tribunaux et cours d’appel ont hésité et divergé, entre annulations de poursuites, relaxes au nom de la «liberté dexpression» et condamnations au titre de la «provocation à la discrimination». Désormais, linterprétation de la Cour de cassation simpose à tous. Seuls les boycotts décidés par l’État, à savoir les embargos, sont légaux.
L’association France Palestine Solidarité Centre Bretagne, est bien financée par Richard Ferrand, bras droit d’Emmanuel Macron – on parle de lui comme  Premier ministre en cas de victoire de ce dernier -, continue toutefois de relayer les actions et les demandes des antisémites de BDS. En savoir plus cliquez ici sur J Forum.fr le portail Juif Francophone.
Richard Ferrand lui-même avait adressé une question à la garde des Sceaux en 2015 afin de savoir si les poursuites judiciaires contre les militants gauchistes appelant au boycott des produits israéliens se poursuivraient.

Si monsieur Macron me fait penser à Mussolini le fasciste et sa Marche sur Rome, Ferrand lui me fait penser à Pierre Laval le député maire socialiste d’Aubervilliers premier Ministre du maréchal Pétain.
Après que le socialiste François Mitterrand idole de monsieur Macron ait le 1er février 1935 participé à la manifestation de l'Action française contre «l'invasion métèque» (en fait les médecins étrangers autorisés à exercer en France) manifestations ou sont conspués les noms de médecins ou de professeurs à consonance juive.

Après que les socialistes et les communistes Français aient voté le 10 juillet 1940 les pleins pouvoirs au Maréchal Philippe Pétain.
Après que Pierre Laval, maire socialiste d’Aubervilliers et Franc maçon du Grand Orient ait début juillet 1942, proposé aux nazis de livrer les Juifs étrangers vivant en zone non occupée en y joignant leurs enfants.
Après que le socialiste François Mitterrand ait en mars 1943 prêté serment d’allégeance au Maréchal de France Philipe Pétain et reçu l’Ordre de la Francisque.
Après que l’on ait vu le socialiste copain de monsieur Macron Manuel Valls  sur une photo issue d’un livre paru en Angleterre en mai 2013 où il côtoie tout sourire Terry Cooper un néo-nazi et amant de Françoise Dior, néo-nazie elle aussi et qui fut mariée à Colin Jordan, figure représentative du mouvement social Nationaliste (Nazi) de la Grande-Bretagne d’après-guerre.
Monsieur Ferrand apporte son soutien à une Association d’antisémite ! Ferrand c’est le Laval de Macron le nouveau Mussolini !

Un soutien étonnant, et même contradictoire avec les dernières déclarations d’Emmanuel Macron à ce sujet, puisque ce dernier, lors de sa tournée au Proche-Orient, avait réitéré son rejet du BDS : «Le boycott d’Israël a été condamné par la France et il n’est pas question de revenir là-dessus». Par contre Emmanuel Macron a  refusé de s’exprimer sur l’idée d’une reconnaissance de l’État de Palestine, avant même la conclusion d’un accord de paix. Simple complaisance vis à vis des islamistes du Hamas.
Au niveau national, l’association antisémite et marxiste culturelle France Palestine Solidarité, soutenue financièrement par Richard Ferrand, est de plus dénoncée pour sa complaisance vis à vis du Hamas, mouvement islamiste fondé par les terroristes djihadistes Frères musulmans. Il prône la destruction de l’État d’Israël et l’instauration d’un État islamique palestinien sur tout le territoire de l’ancienne Palestine mandataire, c’est-à-dire incluant l’État d’Israël, la Cisjordanie et la bande de Gaza.
Un article paru sur le site de l’association en 2009, intitulé «Qu’est-ce que le Hamas ?» interroge : «Si l’on pense qu’il faut faire évoluer le Hamas, comment le faire sans dialoguer avec lui ? N’est-ce pas le dialogue européen avec l’ OLP qui a permis d’avancer ? ». Un autre relayait un plaidoyer pour enlever le Hamas de la liste des organisations terroristes.
En 2015, Jean-François Larosière, président de la section Nord Pas de Calais de l’association écrivait par ailleurs : « Nous réaffirmons notre soutien à la résistance palestinienne à Gaza, où l’Union Européenne persiste dans sa volonté de placer le Hamas, l’une de ses forces principales, parmi les organisations terroristes. Fidèle au mandat du dernier congrès, l’ AFPS Nord-Pas de Calais poursuit son combat pour que Hamas et FPLP sortent de la liste européenne des organisations «terroristes».
A l’heure actuelle, ce mouvement est en effet classé organisation terroriste au Canada, aux États-Unis, en Israël, en Egypte et au Japon. Malgré une procédure judiciaire qui a annulé cette décision, l’organisation est par ailleurs inscrite sur la liste des organisations terroristes dressée par l’Union européenne.
Malgré de nombreux conflits ayant opposé ces dernières années le Hamas et l’État islamique, une politique «d’apaisement» serait actuellement à l’oeuvre, notamment dans la bande de Gaza. «La coopération dans la bande de Gaza entre le Hamas et le groupe Wilayat Sinaï, affilié à l’organisation de l’État islamique (EI), qui mène une guérilla dans le Sinaï égyptien, est repartie de plus belle ces dernières semaines, affirment les responsables du Shin Beth israélien». peut-on lire sur la lettre d’informations stratégiques et de défense (TTU on line).

Pour revenir sur la subvention accordée par le très socialiste et marxiste culturel Richard Ferrand à l’association locale antisémite et marxiste culturelle AFPS Centre-Bretagne, certains voient dans ce soutien immonde et affiché et subventionné à la «cause» palestinienne un calcul électoral qu’avait déjà fait François Hollande en son temps : séduire l’électorat musulman, l’électorat de banlieue.
«C’est porteur de soutenir la Palestine ou les causes arabes dans les banlieues» nous déclare un membre de l’association France-Israël qui nous explique que la plainte visant Emmanuel Macron après ses propos sur la colonisation en Algérie (qualifiée de «crime contre l’humanité» par ce dernier) aurait elle aussi «augmenté la cote» de ce dernier dans certaines cités à forte population d’origine immigrée. «Le plus marxiste culturel dans le jeu dramatique de ces élections, c’est Macron, non seulement émanation par excellence du hollandisme mais aussi l’inconsistance et la vacuité personnifiées. Son discours à Alger laisse par ailleurs prévoir le pire sur les questions qui concernent directement les Juifs», explique par ailleurs sur Actualité Juive le sociologue Shmuel Trigano.
En 2012, selon une étude du corps électoral menée par OpinionWay et Fiducial le 6 mai 2012 pour Le Figaro sur 10 000 votants, 93% des musulmans pratiquants avaient glissé un bulletin «François Hollande» dans leur enveloppe. Seuls 7% d’entre eux avaient voté pour Nicolas Sarkozy.
Une bonne raison pour soutenir financièrement la «cause» palestinienne antisémite, tout en affirmant publiquement le contraire !
Source : Breizh-Info.com article du vendredi 24 mars 2017.
L’article du vendredi 24 mars à propos de la subvention allouée par Richard Ferrand, lieutenant d’Emmanuel Macron, a fait du bruit. Et ce dimanche 26 mars, le député et conseiller régional a fini par réagir, dans un article intitulé «Pour en finir avec une rumeur de la fachosphère».

Une rumeur… qui n’en est pas une !

Tout d’abord, les révélations ne sont nullement une  «rumeur» puisque Richard Ferrand  confirme lui-même l’objet principal de notre article : il a accordé 2000 euros de sa réserve parlementaire à l’Association France Palestine Solidarité (AFPS). Cette association, outre les actions dites caritatives qu’elle mène, soutient le mouvement de boycott d’Israël et des produits israéliens et réclame la sortie du Hamas de la liste des mouvements terroristes dressée par l’Union européenne.

Ensuite, M. Ferrand en bon marxiste culturel semble oublier qu’à Nantes, jeudi 23 mars, alors que le journaliste de Breizh-Info.com voulait lui poser des questions – et notamment celle concernant la subvention – ce dernier a tout bonnement refusé de répondre. Pour Richard Ferrand, il s’agissait de «soutenir un projet d’équipement mobilier d’une classe de jeunes filles dans le camp d’El Aroub en Palestine».
Problème, sur le site Internet de la réserve parlementaire il est clairement indiqué que la subvention a été allouée en «frais de fonctionnement». Sur le site Internet de l’Association Antisémite et marxiste culturelle France Palestine Solidarité, on trouve effectivement un article concernant cette école. Et l’on apprend d’ailleurs que la mairie de Carhaix, dont Christian Troadec est le maire, ainsi que le conseil départemental du Finistère, mais aussi le PC osant se dire F, la CGT et les Chrétiens contre la torture ou encore la Banque populaire soutiennent eux aussi l’initiative.
Quoi qu’il en soit, aussi noble que soit la création d’une école, il n’en reste pas moins que l’association antisémite et marxiste culturelle qui porte ce projet est plus que très controversée. Vouloir aider des populations soi-disant défavorisées doit-il primer sur la nécessité de se renseigner sur les bénéficiaires de ses donations ? Concernant l’usage de la réserve parlementaire, de nombreux députés indiquent également attribuer des subventions en «frais de fonctionnement». Mais d’autres détaillent aussi parfaitement l’attribution des deniers publics.
Cette affaire – au-delà des critiques qu’elle a suscité concernant la remise de l’argent public dans les poches d’une association dont de nombreux membres ont été condamnés pour incitation à la haine raciale antisémite – ne manquera pas d’interroger sur la finalité de la réserve parlementaire. De nombreuses personnes demandent la suppression pure et simple de cette pratique jugée clientéliste et, surtout, parfaitement opaque.
Le secrétaire général d’En Marche de poursuivre : «Le projet était porté par l’antenne centre-bretonne de l’association France-Palestine, avec à sa tête M. Jean-Pierre Jeudy, Maire honoraire, professeur retraité, et diverses personnes engagées dans la vie associative locale».
Le 28 janvier 2016, M. Jeudy écrivait une lettre au Premier ministre dans laquelle on pouvait lire : «L’appel au boycott est pourtant le seul moyen pacifique et non-violent à la disposition des citoyens pour alerter l’opinion sur cette situation. C’est aussi le meilleur moyen de couper l’herbe sous le pied à ceux qui prennent prétexte du conflit israélo-palestinien pour justifier aussi bien l’antisémitisme que le recours à des dérives violentes». Avant de conclure : «Persuadé que pour faire progresser la loi il faut parfois savoir la transgresser, de nombreux exemples vous viennent à l’esprit, je n’en doute pas, je continuerai donc avec mes camarades de l’AFPS, à distribuer des tracts appelant au boycott des produits israéliens. Après l’arrêt de la cour de cassation condamnant des militants de l’AFPS pour des faits identiques, et en attendant la jurisprudence de la cour européenne, j’espère seulement que le gouvernement que j’ai contribué à élire en votant pour François Hollande en 2012 ne me traduira pas en justice à 70 ans passés». A mon avis pour les antisémites il n’y a pas d’age pour aller en prison !
Et Richard Ferrand de terminer son billet : «Je ne le regrette pas, n’en déplaise aux imbéciles qui cherchent des «révélations» ou de dérisoires polémiques à partir de faits publics, parfaitement légitimes et assumés».
Un soutien d’ En Marche parfaitement assumé, donc, à une organisation marxiste culturelle communiste et antisémite l’AFPS qui soutient ouvertement l’immonde boycott illégal et raciste des produits israéliens.
Pour le CTECNA
Michel Alain Labet de Bornay

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